
Cette année, je n’ai pas été réveillée avec un petit poème appris fièrement par la chair de ma chair. Je n’ai pas déballé des paquets terminés en urgence par les Atsem, dans lesquels se cachaient des objets forcément magnifiques à leurs yeux, pour lesquels j’aurais préparé mes plus beaux « ooooh » hypocrites émerveillés, avant de les entreposer exposer le plus près possible de mon lit. Je n’aurai pas cette année de collier de nouilles (pénurie de pâtes oblige) ou d’empreinte de main en pâte à sel (pénurie de farine oblige). » Read more

